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REGAIN de l'Esterel

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1 mai 2012

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18 mars 2012

Dans l'intérêt des viticulteurs et du notre, buvons bio !

« Message dans une bouteille »
Etude sur la présence de résidus de pesticides dans le vin.

Par PAN Europe (Pesticide Action Network) et par Générations Futures (ex MDRGF)

Analysespesticidesvins

La conclusion du document ci-joint :

"« L’étude réalisée par PAN et le MDRGF montre que l’utilisation très intensive de pesticides en viticulture - 20% des pesticides utilisés sur 3% de la surface agricole - a comme conséquence la présence systématique de nombreux résidus dans les vins. Il est grand temps, conformément aux décisions du Grenelle, que la viticulture réduise sa consommation de pesticides pour réduire l’exposition des consommateurs en privilégiant les techniques alternatives aux pesticides. Ce sont ces systèmes alternatifs dont le MDRGF fait la promotion lors de la 3ème semaine sans pesticides qui a lieu du 20 au 30 mars. » déclare F. Veillerette, Président du MDRGF et administrateur du réseau PAN-Europe. « En outre, les représentants du gouvernement français devront absolument tout faire pour que les législations européennes sur les pesticides en préparation éliment les pesticides les plus dangereux et favorisent les systèmes qui réduisent fortement, ou se passent complètement, de ces toxiques » ajoute F. Veillerette."

Buvons bio !


29 janvier 2012

Energie Partagée : l'investissement citoyen

energie_partagee_logo

 

Agir concrètement pour le développement d'une énergie renouvelable, sobre, efficace ET citoyenne, c'est ce que propose le mouvement Énergie Partagée.

C'est le moment de construire un autre futur énergétique : investissez dans les énergies renouvelables !

Le saviez-vous ?

- Depuis 1973, la consommation totale d'énergie en France a plus que triplé, les secteurs du tertiaire, du résidentiel et des transports devenant les postes de consommation les plus importants1.
- Dans le même temps, le gaspillage et la surconsommation énergétiques2 restent considérables tandis que 3,4 millions de ménages souffrent de précarité énergétique3.
- En France, environ 65% de l'électricité consommée par les consommateurs finals est d'origine nucléaire. D'autre part, aujourd'hui, la contribution des énergies renouvelables à la consommation finale d'énergie est d'environ 10% avec un objectif d'arriver à 23 % en 2020.
- Les règles du jeu en France en matière de production et de gestion d'énergie renouvelable défavorisent les citoyens et les acteurs des territoires (réglementation administrative et difficultés de raccordement au réseau notamment).

Les constats à l'origine du projet Énergie Partagée

- Les technologies d’énergies renouvelables sont, par nature, locales et accessibles aux citoyens.
- La réglementation de l’appel public à l’épargne est un facteur limitant pour le développement de l’énergie « citoyenne ».
- La solution se trouve dans la mise en commun des compétences et des savoir-faire dans les différents métiers : énergies d’un côté, outils financiers de l’autre.

C'est pourquoi ...

Par le levier de l'investissement solidaire, le mouvement Énergie Partagée veut permettre une réappropriation citoyenne des enjeux énergétiques sur les différents territoires et sortir le développement des énergies renouvelables de la seule logique financière, source de conflits.

Les initiateurs du projet ont scellé leur union dans un texte fondateur qui définit la vision, la mission et les engagements du mouvement : la Charte Énergie Partagée.

Acteurs de terrain, ils ont créé deux outils complémentaires propres à assurer ces engagements : une association et un outil financier.
En savoir plus :

En savoir plus : voir le dossier de présentation : ici.
 


1. Cf Chiffres clés de l'énergie en France, Repères, Commissariat Général au Développement Durable, édition 2009.
2. Transports d'électricité à longue distance, chauffage électrique, climatisation....
3. Cf. Plan Bâtiment Grenelle, Groupe de travail Précarité énergétique - Rapport final, 15 décembre 2009.


24 janvier 2012

Kokopelli en marche pour la Victoire !

 

Procès devant la Cour de Justice

de l'Union Européenne:

Kokopelli en marche pour la Victoire!

Communiqué de Kokopelli du 19 janvier 2012

L’avocat général chargé du dossier Kokopelli devant la Cour de Justice de l’Union Européenne a donné aujourd’hui lecture publique de ses conclusions. Nous avons la joie d’annoncer qu’elles  nous donnent entièrement raison !

En effet, le magistrat conclut à l’invalidité de l’interdiction de commercialiser des semences d’une variété non inscrite au catalogue officiel, et ce aux motifs que cette interdiction, portée par la législation Européenne aussi bien que par la réglementation Française, viole le principe de proportionnalité, la liberté d’entreprise, la libre circulation des marchandises, ainsi que le principe de non discrimination. La quasi-totalité de nos arguments ont été retenus!

De plus, l’avocat général n’a pas manqué d’affirmer, au contraire de ce qui était avancé par nos nombreux adversaires (Commission Européenne, Conseil de l’U-nion Européenne, République Française, Royaume d’Espagne et société Graines Baumaux), que, d’une part, les règles relatives à l’admission des semences au Catalogue Officiel n’ont « aucun rapport avec la santé des plantes », d’autre part, que « il appartient aux agriculteurs de décider des variétés qu’ils cultivent », enfin que cette législation limite excessivement le choix des consommateurs qui n’ont « ni accès aux denrées alimentaires ou autres produits issus de variétés qui ne satisfont pas aux critères d’admission, ni la possibilité de cultiver eux-mêmes ces variétés, par exemple dans leur propre jardin ».

De même, l’avocat général rappelle à juste titre que « le fait que les agriculteurs soient cantonnés à des variétés admises réduit enfin la diversité génétique dans les champs Européens ».

Il en conclut logiquement que «les inconvénients de l’interdiction de commercialiser des semences de variétés non admises l’emportent manifestement sur ses avantages. »

Nous sommes extrêmement satisfaits de ces conclusions et nous avons maintenant l’immense espoir que la Cour suive l’avis de son avocat général et vienne enfin mettre un terme au totalitarisme pluri-décennal de la législation sur le commerce des semences.

Pour plus d’information, voir sur le site de la Cour de Justice de l'Union Européenne (conclusions de l'avocat général disponibles dans plusieurs langues).

Blanche MAGARINOS-REY

Avocate de l’Association Kokopelli.

contact@avocat-magarinos-rey.com

Pour Victor Jara

Nous avons le plaisir d'annoncer la sortie prochaine de la 11ème édition de l'ouvrage de Dominique Guillet, "Semences de Kokopelli", en début février 2012. Cet ouvrage fait maintenant 848 pages: de nouveaux articles de Dominique ont été rajoutés ainsi que trois essais de John Lash sur 2012 et le très célèbre cycle Maya.

La nouvelle introduction de Dominique pour cet l'ouvrage, "Pour Victor Jara", est disponible sur le site Liberterre.

Festival Kokopelli/PachaMama au Pérou

Au fil des semaines, la liste des intervenants s'accroît et le site est maintenant quasiment traduit en 3 autres langues: Anglais, Espagnol et Portuguais. Merci d'en informer vos amis de par le monde.

L'annonce de ce Festival a suscité une profonde vague d'enthousiasme dans tous les pays d'Amérique Latine et ce Festival Kokopelli/PachaMama va être, durant la première semaine d'août 2012, le rendez-vous incontournable de tous les réseaux de protection de la biodiversité alimentaire, de promotion de l'agro-écologie et de renouveau des cultures Andines.

Nous vous remercions pour votre confiance

 

Accueil Contact Kokopelli sur les expos Séminaires de Kokopelli

REGAIN de l'Esterel soutient l'association Kokopelli et s'y approvisionne pour son jardin partagé.


21 janvier 2012

Trafalgar du Gaz de schiste en perspective : interview de José Bové

VM Bové GdS 20Jan2012

cliquez sur l'article pour l'agrandir

Pour celles et ceux qui n'étaient pas à Draguignan,
enregistrement de l'appel à la "manif maritime" par William : Ecouter l'appel

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17 décembre 2011

A la mémoire de Frédéric Ferrand, agriculteur.

A la mémoire de Frédéric Ferrand

Dimanche 11 décembre, Frédéric Ferrand nous a quitté, il était âgé de 42 ans, marié et père de deux enfants de 5 ans.

Frédéric souhaitait s’investir dans Phyto-Victimes mais il avait délégué cette action à son père, donnant priorité à combattre la maladie et à s’occuper de ses proches.

Spontanément j’ai envie de dire un de plus. Combien de Frédéric Ferrand, de Yannick Chenet et tant d’anonymes pour que les pouvoirs publiques réagissent.

Il faut que le monde agricole comprenne que Phyto-Victimes n’est pas là pour nous opposer les uns aux autres, mais au contraire, pour nous unir contre les responsables de cette situation. Il est urgent que les agriculteurs et leurs familles brisent le silence afin que ce scandale sanitaire soit reconnue et pris en considération par les instances sociales et de santé.

Demain, le corps de Frédéric sera incinéré, à 15h00, une cérémonie aura lieu au Temple de Segonzac. Vous pouvez soutenir sa famille par votre présence, un mot de sympathie ou tout simplement par vos pensées.

Paul François

Président de Phyto-Victimes

L’association Phyto-Victimes regroupe des personnes (ou leurs proches), qui ont utilisés des pesticides, du fait de leur activités professionnelle et qui ont connu des problèmes de santé.


Tableaux des maladies professionnelles liste des tableaux en lien avec les pesticides


Lien vers le site   Lien vers le site
Saisir un ou plusieurs mots
exemple : benzène, rayonnement
RA 8   Sulfocarbonisme professionnel
RA 10   Affections provoquées par l'arsenic et ses composés minéraux
RA 11   Affections provoquées par les phosphates, pyrophosphates et thiophosphates d'alcoyle, d'aryle ou d'alcoylaryle et autres organo-phosphorés anticholinestérasiques, ainsi que par les phosphoramides anticholinestérasiques et les carbamates anticholinestérasiques.
RA 13   Affections provoquées par les dérivés nitrés du phénol (dinitrophénols, dinitro-orthocrésol, dinosebe, dinoterbe, leurs homologues et leurs sels), par le pentachlorophénol et les pentachlorophénates, et par les dérivés halogénés de l'hydroxybenzonitrile (bromoxynil, ioxynil)
RA 23   Intoxication professionnelle par le bromure de méthyle
RA 44   Affections cutanées et muqueuses professionnelles de mécanisme allergique
RA 45   Affections respiratoires professionnelles de mécanisme allergique
RG 5   Affections professionnelles liées au contact avec le phosphore et le sesquisulfure de phosphore
RG 14   Affections provoquées par les dérivés nitrés du phénol (dinitrophénols, dinitro-orthocrésols, dinosebe), par le pentachlorophénol, les pentachlorophénates et par les dérivés halogénés de l'hydroxybenzonitrile (bromoxynil, ioxynil)
RG 15   Affections provoquées par les amines aromatiques, leurs sels et leurs dérivés notamment hydroxylés, halogénés, nitrés, nitrosés et sulfonés
RG 15 BIS  Affections de mécanisme allergique provoquées par les amines aromatiques, leurs sels, leurs dérivés notamment hydroxylés, halogénés, nitrés, nitrosés, sulfonés et les produits qui en contiennent à l'état libre
RG 20   Affections professionnelles provoquées par l'arsenic et ses composés minéraux
RG 20 BIS  Cancer bronchique primitif provoqué par l'inhalation de poussières ou de vapeurs arsenicales
RG 34   Affections provoquées par les phosphates, pyrophosphates et thiophosphates d'alcoyle, d'aryle ou d'alcoylaryle et autres organophosphorés anticholinestérasiques ainsi que par les phosphoramides et carbamates hétérocycliques anticholinestérasiques
RG 74   Affections professionnelles provoquées par le furfural et l'alcool furfurylique

27 novembre 2011

Signez la pétition "Osons la Bio !"

Signez et diffusez la pétition "Osons la Bio !"

A l’approche de l’élection présidentielle, Bio Consom’acteurs, en partenariat avec Terre de Liens et la FNAB, a lancé la pétition nationale "Osons la Bio !" pour obtenir des candidats l’engagement de soutenir le développement de l’agriculture biologique s’ils sont élus.

La bio est écologiquement, socialement et économiquement viable : tel est le message qui est adressé aux candidats. Pour appuyer cette pétition, un cahier de 20 propositions pour atteindre 20 % de bio en 2020 a été présenté le 24 novembre aux représentants "agricoles" des différents candidats. Ce cahier servira de base aux discussions et permettra de recueillir les premières réactions de ces représentants.

3 pistes pour agir !

> Pour signer la pétition en ligne, c’est ici.

> Pensez à diffuser la pétition autour de vous, jusque mars 2012.

> Vous pouvez aussi télécharger le document de la pétition pour le faire signer en version papier, à retourner à Bio Consom’acteurs.

source : www.terredeliens.org


24 octobre 2011

CONSOM'ACTION

logo    www.bioconsomacteurs.org

 

Le comportement des Français change… mais il reste le frein du portefeuille
Diana Semaska - publié le: 06-10-2011


Selon une étude du Crédoc (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie), les Français sont de plus en plus nombreux à économiser l’eau, à bouder la voiture, à sourire à la bio… mais une étude d’Ethicity estime que, si la part des personnes sensibles au développement durable augmente, les moyens financiers restent un obstacle pragmatique et conséquent aux changements de comportements.

Plus de 2 Français sur 3 essaient d’économiser l’eau du robinet, alors qu’ils étaient seulement la moitié à le faire en 1995. C’est le résultat d’une étude du Crédoc, menée en 2010 sur 2000 personnes. Elle montre que les Français changent leur façon de consommer. Un effet de la crise économique ? Pas que. Pour 54% de ces empêcheurs de goutter en rond, c’est la préservation de la ressource naturelle qui les motive le plus.

Un autre comportement se banalise : la consommation de produits issus de la bio. Pour preuve : 52% des personnes disposant de moins de 900 euros par mois consomment des produits bios, selon l’étude du Crédoc (contre 20% en 1995).  «Réservé à une minorité plutôt aisée et très engagée il y a quinze ans, le bio se diffuse désormais dans les catégories les plus modestes'', rappellent les auteurs de l’étude. Qui ajoutent que « 60% des jeunes achètent de temps à autre bio », quand ils n’étaient que 26% en 1995. La bio perdrait donc son image de produit réservé à une élite, au profit d’une autre favorable non seulement à la Terre, mais aussi (surtout ?) à la santé et au goût, précise le rapport.

Autre évolution, cette fois-ci vis-à-vis des transports. Avoir une voiture va de moins en moins de soi, pour les jeunes Français : « 59% des 18-25 ans disposent d’une voiture, contre 74% au début des années 1980 ».


Dans la famille « Concernés », je veux le « vert bâtisseur »

Ces changements de comportements sont-ils le fait d’une prise de conscience environnementale ? Oui, pourrait-on dire au regard d’une autre étude (par le cabinet Ethicity), cherchant à typer les Français selon leur consommation et le développement durable. Du moins, pour les 40% de Français qui essaient de changer concrètement leur mode de consommation. Point commun aux membres des « concernés » : leur pouvoir d’achat est important. Ils font tous partie au minimum de la classe moyenne, supérieure à aisée pour la plupart. Parmi ces  « concernés » (par le développement durable), le cabinet distingue les « éclaireurs » (qui cherchent à la fois à consommer moins, local, écolo, social, à se contenter du nécessaire, à fabriquer eux-mêmes leurs produits) ; les « bio-beau » (intéressés avant tout par leur plaisir, leur santé et sensibles aux tendances) ; les « verts bâtisseurs » (des urbains très informés, attentifs à la provenance des produits, aux impacts sur la biodiversité mais aussi sur le social) ; et les « bonne conduite » (imprégnés par des valeurs traditionnelles qui les conduit à ne pas gaspiller et à avoir un comportement éthique).

« Convaincues… mais limitées par leur pouvoir d’achat »

Deuxième type de consommateurs: les « sensibles » (au développement durable, toujours), freinés par les difficultés financières. Ils appartiennent tous aux classes moyennes inférieures ou modestes. Qu’ils soient impliqués avant tout dans ce qui les fait économiser (les « éco-restreints », qui font attention aux emballages, aux consommations d’eau, d’énergie…) ou demandent à être rassurés et convaincus par le développement durable (les « perméables »), ces personnes admettent le développement durable comme une nécessité. Mais se disent limitées par leur pouvoir d’achat. Elles privilégient donc les prix bas. Ils sont 25% de Français à être concernés par ce groupe, et ce chiffre ne cesse de gonfler selon le cabinet d’étude.

Enfin, 35% des Français demeurent sceptiques vis-à-vis du développement durable. Ceux-ci ne changent pas de mode de consommation. Parmi eux, on trouve ceux pour qui le fait de consommer est un exutoire, une façon de compenser leurs soucis quotidiens. Ce sont les « consophages », pour qui le développement durable est une mode. Quant aux « minimiseurs », ils ne voient leur intérêt, d’après le cabinet d’étude, que dans la reprise de la croissance économique, comme cela peut être le cas des boursicoteurs.

Diana Semaska

En pièce jointe : l’étude du Crédoc


dossier > Télécharger


22 octobre 2011

2012 : Tous candidats avec les Colibris

Campagne "Tous Candidats !"

Vous aussi devenez candidat en 2012 ! Participez à créer une communauté capable de peser sur les orientations de la société et de proposer des voies pour le futur !
 

Colibris lance une vaste campagne citoyenne en parallèle des élections présidentielles : "Tous candidats en 2012".

Au-delà de toutes considérations politiques, économiques, partisanes, c’est aujourd’hui à la conscience de chacun d’entre nous que nous faisons appel, pour construire une société plus écologique et plus humaine.

Logo "Tous candidats 2012"Combien sommes-nous aujourd’hui à inventer, à construire, une société plus écologique et plus humaine ? Comment mettre en valeur les trésors créatifs que la société civile élabore tous les jours ? Comment agir ensemble ?

Alimentation, énergie, habitat et urbanisme, économie, éducation… chaque jour, par chacun de nos actes, nous participons à transformer le monde. La campagne "Tous candidats" permettra à chacun, au-delà de toutes considérations politiques, économiques et partisanes, de se déclarer candidat à l’action et de poser les fondements d’une société nouvelle.

Vous aussi, vous voulez être candidat ? Déclarez-vous sur : www.touscandidats2012.fr (à partir du 14 octobre).

Déjà soutenue par de nombreux partenaires (penseurs, artistes, entrepreneurs…) la campagne "Tous candidats" a l’ambition de créer une communauté capable de peser sur les orientations de la société et de proposer des voies pour le futur.

Se compter : www.touscandidats2012.fr

Colibris a développé un site spécialement dédié à la campagne : www.touscandidats2012.fr pour permettre à chaque personne de se déclarer candidat, de créer son affiche et son slogan de campagne. 

En savoir plus.

Déclarez-vous candidat sur le site www.touscandidats2012.fr !

 

Inspirer : une (R)évolution

Colibris propose une série de livres et un film, pédagogiques et inspirants, pour aider chacun à construire une vision positive du futur.

En savoir plus

Se relier : "Transformons Nos Territoires", la campagne sur le terrain

Colibris co-organise 22 des forums en région pour relier et soutenir les acteurs qui souhaitent engager une dynamique de changement sur leur territoire.

En savoir plus sur le 1er Forum TNT - Transformons nos Territoires


28 septembre 2011

La lettre ouverte d'un maire varois, à l'ensemble des élus du Var.

Monsieur Pierre Jugy, maire de Tourtour, adresse une lettre ouverte à l'ensemble des élus du Var.

Cher collègue,

C’est en tant qu’élu du Haut Var et maire de Tourtour que je m’adresse à vous afin que vous soyez très exactement informés de la situation nouvelle et catastrophique provoquée par le groupe pétrolier TOTAL au sujet de l’extraction du gaz de schiste dans le Sud Est.

Avec Josette Pons, députée du Var, j’ai fait partie des tout premiers élus du département à s’être mobilisé en mars dernier contre l’extraction du gaz de schiste dans notre région à la suite de l’interpellation du Collectif anti gaz de schiste Varois.

Cette mobilisation sans précédent des élus ruraux, des associations et des collectifs anti gaz de schiste dans tout le sud de la France a obligé le Gouvernement à débattre en urgence d’une loi qui a été votée en juillet 2011. Ce texte était censé mettre un coup d’arrêt à tous les permis d’exploration délivrés en catimini à des multinationales par Jean-Louis Borloo alors ministre de l’Ecologie.

Pour le maire que je suis, l’annonce faite il y a 48 heures par le Groupe TOTAL de poursuivre l’exploration puis l’exploitation du gaz de schiste dans le Sud Est en dépit de la loi votée est une véritable provocation pour tous les habitants de nos zones rurales.

Il est clair que ce sont nos territoires ruraux peu peuplés qui seront les premières victimes des intérêts mercantiles du groupe pétrolier français.

Moins de 24 heures avant la date butoir, rendant caduc les droits d’exploration octroyés pour 5 ans par le Gouvernement, TOTAL affiche sa suffisance et fait fi d’une loi ambiguë votée il y a tout juste deux mois au Parlement.

TOTAL annonce qu’il va continuer les études et engager l’exploitation du gaz de schiste sous le fallacieux prétexte d’utiliser une autre technique que celle de la fracturation hydraulique alors que chacun sait qu’elle est la seule technique rentable. Ils vont même plus loin en considérant que les forages pourraient commencer dès 2013.

Sans vergogne, le groupe pétrolier franchit ouvertement la ligne jaune dans les médias en considérant qu’il faut rendre « acceptable » la technique de la fracturation hydraulique alors que ce procédé vient d’être officiellement interdit par la loi en France.

Face à cette menace pour la santé des habitants de nos communes rurales et l’imposture d’une loi passoire, c’est aux élus ruraux, aux collectifs et aux associations d’exercer leur devoir de vigilance en étant très présent sur tous les sites potentiels.

Pour être efficace, je propose que les élus du Haut Var, les ONG et les Collectifs anti gaz de Schiste mettent en place une cellule de veille qui regroupera toutes les informations en provenance des différents territoires afin que nous puissions réagir rapidement et collectivement.

Pour le Haut Var, nous ne savons pas si le permis d’exploration dit « de Brignoles » va être annulé, et c’est pourquoi j’ai immédiatement interpellé le préfet du Var, Paul Mourier, et le préfet de la région PACA, Hugues Parant, afin que tous les élus du Var soient informés.

Toutefois, il est clair qu’à partir de maintenant tout le Haut Var est à la merci et sous la menace du précédent qui vient d’être initié par TOTAL.

Cette porte ouverte aux groupes pétroliers dans l’extraction du gaz de schiste dans le Sud Est les conduit déjà à expliquer dans le journal Le Monde que renoncer à un permis, c’est renoncer à son métier qui est de découvrir où sont les richesses en hydrocarbures et les risques associés à leur exploitation.

Ce cynisme affiché et assumé doit tous nous conduire à interpeller tous les députés varois qui ont voté cette loi en juillet 2011 afin qu’ils agissent dès la rentrée parlementaire.

Par cette lettre ouverte je demande à tous mes collègues maires, mais aussi aux conseillers généraux et régionaux du département de se manifester publiquement contre ce passage en force.

Je compte vraiment sur vous pour qu’ensemble, quelles que soient nos opinions politiques, nous luttions avec détermination contre cette menace qui va mettre à mal notre environnement et notre économie tournée essentiellement vers le tourisme dans le Haut Var.

Amicalement.
Pierre Jugy
Maire de Tourtour

Le Collectif varois se réjouit de l'implication présente et à venir de Pierre Jugy, maire de Tourtour et des élus varois. Nous mettrons en ligne demain dimanche, un article, sous forme de lettre ouverte, sur ce même sujet.


Lire aussi : GdS : Projection aux Adrets le 10 Octobre


18 juin 2011

Fête des Amanins pour la Terre et l'Humanisme

Lettre d'information des Amanins - juin 2011

Si vous avez des problèmes pour lire ce mail, cliquez ici

 
L’équipe des Amanins vous salue... et vous invite !

>>> FÊTE DES AMANINS POUR LA TERRE ET L’HUMANISME

Rendez-vous sur : www.lesamanins.com/fete

Les samedi 25 et dimanche 26 juin 2011

VENEZ NOMBREUX POUR CE BEL ÉVÉNEMENT FESTIF.
UN MOMENT PROPICE DE RASSEMBLEMENT POUR VIVRE ET PARTAGER UNE ÉCOLOGIE JOYEUSE ET ENGAGÉE !

Cette fête regroupera des penseurs/acteurs de notre société, des artistes, des associations et des citoyens : ambassadeurs d’une autre société !

Pierre RABHI , Coline SERREAU , Isabelle PELOUX , Philippe MEIRIEU , Thomas D’ANSEMBOURG , Michèle RIVASI , Albert JACQUARD , Paul ARIES , Edgar MORIN , Philippe DESBROSSES , Eric JULIEN , Sjoerd WARTENA , Lama LHUNDROUP , Alain CHEVILLAT et Jean-Guy HENCKEL témoigneront d’un message positif et humaniste sur l’écologie.

Les compagnies des NOUVEAUX NEZ , DOUBLE UN , Le NEZ AU VENT seront garants de la légèreté, du rire et de la bonne humeur.

Le groupe NUIT DE FETE , la chanteuse YOANNA et le duo de chanteurs des MALPOLIS nous proposerons leurs rythmes et leurs mots décalés pour ambiancer les soirées.

>>> Télécharger l’affiche et le programme

Pas de réservation, billetterie sur place. Les Amanins ne propose pas d’hébergements pour cet événement
Pour plus d’infos, rendez-vous sur : www.lesamanins.com/fete


+ MAIS AUSSI A PARTAGER AUX AMANINS

>>> CETTE ÉTÉ, LES SÉJOURS A LA FERME

Du dimanche 3 juillet au dimanche 4 septembre
Des VACANCES AUTREMENT… En famille, seul ou entre amis, venez partager des moments de détente respectueux de l’homme et de la terre.

Vivez au rythme de la ferme des Amanins sur plusieurs jours et participez en nous aidant dans nos activités paysannes quotidiennes  : élevage, maraîchage, culture céréalière, production du pain et du fromage.

Expérimentez de manière concrètes des savoirs écologiques à travers des ateliers ludiques et participatifs : la terre à bâtir, les énergies renouvelables, le cycle des déchets, les jeux coopératifs, etc.

>>>Découvrez la présentation des séjours

>>> STAGE « CRÉER SON ECO-PROJET »

Ouvert à tous les publics. Du mercredi 29 juin au lundi 4 juillet 2011
Créer son projet écologique et en explorer toutes les dimensions

Ce stage regroupera les Amanins, le Hameau des Buis, L’oasis de Bellecombe, la Scop Quint’essence, le Viel Audon, l’ADyRe, le mouvement des Colibris pour une même transmission de savoir.

Proposer un cadre créatif et collectif pour favoriser le partage de savoir et la transmission de bases fortes de réalisation d’un éco-projet.

>>> Télécharger le programme


+ TRAIT D’UNION... Tisser des liens, relier les initiatives

L’Université Terre du Ciel vous convie à son 24e Forum Terre du Ciel : BÂTIR L’AVENIR - résistances et créations - cliquez
Les 11 -12 - 13 juin 2011 (Pentecôte) au Centre des Congrès d’Aix-les-Bains

Au programme : 3 jours de réflexion, de témoignages de résistances, d’initiative novatrices, d’approches décalées, de laboratoires pour demain. Avec 70 intervenants, parmi lesquels : Satish Kumar, Jean-Baptiste de Foucauld, Cheikh Ben Tounès, Annick de Souzenelle, Jean-Marie Pelt, Jean-Yves Bilien, Marianne Sébastien, Serge Orru, Marguerite Kardos.

Rencontre à St Antoine l’Abbaye : Entre besoins et avidité, une économie non-violente est-elle possible ? - cliquez
Du 10 au 13 juin 2011 à St Antoine l’Abbaye (Isère)


Faites-vous Colibris et n’hésitez pas à parler des Amanins autour de vous et à vous inscrire au mouvement des Colibris - cliquez

Le 29 mai 2010 nous étions 1200
 
FETE DES AMANINS

"INTENTIONS"

Parce que nous étions 1200 à se réunir le 29 mai 2010 pour les 5 ans des Amanins autour du thème "Ecologie et Coopération", parce que nous concluons un premier cycle de forums et conférences, parce que les Amanins est intégré au réseau Terre et Humanisme de Pierre Rabhi, parce que l’écologie est aussi synonyme de fête...

Nous organisons un bel évènement festif autour de la Terre et L’Humanisme pour vivre une écologie joyeuse et engagée !

A l’aube d’une année décisive, éco-citoyens, créatifs culturels et acteurs du changement constituent aujourd’hui une dynamique puissante. La fête des Amanins pour la Terre et l’Humanisme incarne ce mouvement socioculturel uni et engagé où les citoyens se réapproprient le pouvoir d’agir pour la transformation de leur territoire.

Venez nombreux, cette fête se veut un moment de rassemblement, un moment de célébration de l’écologie !

Site internet de la fête

Pierre Rabhi, Jean-Marie Pelt, Isabelle Peloux et Edgar Morin aux Amanins
 

www.lesamanins.com - La Roche-sur-Grâne, Drôme - tel : 04 75 43 75 05 - mail : info@lesamanins.com

Cette newsletter est bimestrielle. Elle est complétée par des brèves bimestrielles sur l’agenda des Amanins. Si vous ne désirez plus recevoir cette newsletter ou les brèves, merci de nous envoyer un message spécifiant vos attentes : info@lesamanins.com


 

6 juin 2011

Comment détruire la paysannerie mondiale de manière responsable

par Olivier De Schutter

2010-06-04

Comment détruire la paysannerie mondiale de manière responsable

BRUXELLES – La Banque mondiale, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Fonds international pour le développement de l’agriculture (FIDA) et le secrétariat de la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (CNUCED) ont récemment proposé sept Principes pour un investissement responsable dans l’agriculture. Ces principes visent à s’assurer que ces énormes placements débouchent sur un résultat “gagnant-gagnant”, servant tant les investisseurs que les communautés directement impliquées. Si ces principes sont pétris de bonnes intentions, ils sont cependant totalement inadéquats.

Depuis plusieurs années, les investisseurs (privés et publics) acquièrent et louent des millions d’hectares de terres agricoles dans le monde afin d’assurer l’approvisionnement de leur pays en nourriture, en matières premières et en biocarburants ou de toucher des subventions pour stockage du carbone sur leur site. Les investisseurs occidentaux, y compris les banques de Wall Street et fonds d’investissement, voient aujourd’hui le foncier comme une valeur refuge dans un contexte de tourmente financière.

Le phénomène a pris une ampleur considérable. Depuis 2006, entre 15 et 20 millions d’hectares de surfaces agricoles – soit l’équivalent du total des terres arables de France – ont fait l’objet de négociations de la part d’investisseurs étrangers.

Les risques sont considérables. Trop souvent, des notions comme « terre agricole en réserve » ou « en friche » sont détournées de leur sens, pour désigner des terres qui assurent en fait la subsistance populations entières, en vertu de pratiques coutumières. Les expropriations devraient n’avoir lieu que dans l’intérêt public, contre compensation et après consultation des intéressés. Dans les faits, ces principes ne sont que rarement respectés.

En Afrique, les terres arables sont en général considérées comme propriété domaniale de l'État, et les gouvernements les traitent comme si elles leur appartenaient. En Amérique latine, le fossé entre les grands propriétaires fonciers et les petits exploitants se creuse. Aujourd’hui, en Asie du Sud, beaucoup de populations sont délogées de leurs terres ancestrales pour libérer l’espace afin de créer d’immenses plantations de palmiers à huile, construire des zones économiques spéciales ou pour des projets de reforestation.

Les principes proposés pour discipliner le phénomène sont présentés comme volontaires. Il faut au contraire insister pour que les gouvernements respectent leurs obligations envers les droits de l’homme, y compris le droit à l’alimentation, le droit des peuples à disposer eux-mêmes de leurs richesses et de leurs ressources naturelles, et le droit de ne pas être privés de leurs moyens de subsistance. Les principes proposés ne disent mot sur les droits de l’homme : ils manquent ainsi cette dimension essentielle de la responsabilité des gouvernements.

Par évidence, l’achat de terres par les investisseurs pour créer de vastes plantations va à l’encontre de l’objectif de redistribution des terres afin de garantir un accès plus équitable à la propriété foncière. Objectif que les gouvernements se sont pourtant engagés régulièrement à poursuivre, surtout depuis la Conférence internationale sur la réforme agraire et le développement rural de 2006.

Le problème va en réalité bien au-delà de la manière dont ces principes dont formulés. La promotion de l’investissement foncier à grande échelle découle de la conviction que, pour combattre la faim, il faut augmenter la production alimentaire, et que celle-ci stagne en raison d’un manque d’investissement dans l’agriculture. C’est ce biais qui explique que, lorsque les investisseurs ont commencé à se ré-intéresser à l’agriculture, la priorité fut de les y attirer en leur offrant les meilleures conditions possibles, plutôt que de leur imposer des conditions risquant de les dissuader.

Or, tant le diagnostic que le remède sont incorrects. La faim et la malnutrition ne sont pas dues à une production alimentaire insuffisante. Elles sont le résultat de la pauvreté et des inégalités, notamment en zone rurale, où demeurent 75 % des pauvres à l’échelle de la planète.

Par le passé, le développement agricole a mis l’accent sur l’agriculture à grande échelle, fortement capitalisée, au détriment des petits exploitants dont la production fait vivre les communautés locales. En outre, dans un environnement de plus en plus compétitif, les gouvernements n’ont pas su protéger les travailleurs agricoles de l’exploitation sur les grands plantations. Comment s’étonner alors que les petits exploitants et les ouvriers agricoles représentent 70 % de personnes incapables de se nourrir  ?

Accélérer la transition vers une agriculture intensive et industrialisée ne résoudra pas le problème. En fait, cela risque même d'aggraver une situation déjà dramatique. Les fermes les plus grandes et les mieux équipées sont très compétitives, puisqu’elles produisent pour les marchés à moindre coût. Mais elles génèrent aussi un nombre de coûts sociaux qui ne sont pas intégrés dans le prix de vente de la production.

En revanche, les petits exploitants produisent souvent à un coût plus élevé. Ils sont très productifs à l’hectare, assurent une utilisation optimale du sol et jouent des complémentarités entre les plantes et les animaux. Mais le type d’agriculture qu’ils pratiquent – reposant sur une utilisation réduite d'intrants externes et une plus faible mécanisation – est intensive en main d'ouvre.

Mis en concurrence directe avec les grands exploitants agricoles, les petits paysans seront nécessairement perdants alors qu'ils rendent de précieux services à la communauté : ils préservent l’agro-biodiversité ; ils favorisent résilience des petites communautés au choc des prix ou aux phénomènes météorologiques, et ils préservent mieux l’environnement.

L’arrivée d’investissements à large échelle dans l’agriculture modifie les relations entre ces différents mondes agricoles. Elle exacerbe cette concurrence déjà très inégale. Elle peut être la source de graves conflits sociaux dans les zones rurales.

Bien sûr, il faut investir dans l’agriculture de manière responsable. Mais les opportunités que beaucoup ont vu dans la crise des prix alimentaires ne doivent pas être confondues avec des solutions.

Relancer l’agriculture dans le monde en développement exigerait environ 30 milliards de dollars par an, soit 0,05 % du PIB mondial. Toutefois, les sommes investies importent moins que le type d’agriculture qui est encouragé. Si l’on favorise le développement de monocultures à grande échelle contrôlées par les plus puissants acteurs économiques, le fossé avec l’agriculture familiale, à petite échelle, se creusera davantage, alors que le type d’agriculture industriel mis en avant est déjà responsable d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine.

Il est regrettable que, au lieu de relever le défi d’une agriculture durable d’un point de vue social et environnemental, nous agissions comme s’il était possible d’accélérer la destruction des paysans de la planète de manière responsable.  

Olivier de Schutter est le rapporteur spécial de l’ONU pour le droit à l’alimentation.

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6 mai 2011

La Communauté de Commune du Pays de Fayence dit "NON au gaz de schiste"

source : Association Cantonale pour la Protection de l'Environnement

 Extrait:  gazdeschiste-collectif-var.over-blog.com

Jeudi 21 avril 2011 4 21 /04 /Avr /2011 21:09
La Communauté de Commune du Pays de Fayence dit "NON au gaz de schiste". Bravo. Une de plus.

La Communauté de Commune du Pays de Fayence s'est réuni en Conseil communautaire cet après midi.
Après la présentation du diaporama sur le gaz de schiste (idem Montauroux), le conseil communautaire a voté à l'unanimité une résolution contre tout forage de reconnaissance ou d'exploitation du gaz de schiste sur l'ensemble des territoires des 8 communes de l'intercommunalité du Pays de Fayence.

Les communes concernées devraient faire voter des résolutions similaires, lors de leur prochain conseil municipal, dans les prochaines semaines.

# posted by Marc Brulé


13 février 2011

Chine: «40% de mes semis ont déjà péri»

27 septembre 2010

Un article sur Regain dans le Nouveau Journal Pays de Fayence

13 septembre 2010

SICHEM

100812_SICHEM_Regain

cliquez sur la lettre pour l'agrandir


27 mai 2010

Au-delà du Grenelle, quelles perspectives d’avenir ?

évolution : chapitre 2

Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme

Analyse du Grenelle et perspectives - 27 Mai 2010

de la page 7 à 9 : AGRICULTURE ET ALIMENTATION RESPONSABLE


19 avril 2010

présentation des Colibris Esterel - Pays de Fayence

Voilà la présentation des Colibris Esterel - Pays de Fayence et le bulletin d'adhésion édités à l'occasion de la venue vendredi soir de Coline Serreau à la MPT de Montauroux "Solutions locales pour un désordre global" : salle comble, belle soirée !

Plaquette_Colibri_EPF_16042010

COLIBRIS_EPF_bulletin_adh_sion_2010


18 avril 2010

Du nouveau à Semailles 83

poulailler_Esclamandes

Semailles 83 : coordonnées


2 avril 2010

CULTIVONS LA TERRE à la MJC Picaud, à Cannes

A l'occasion de la création de l'association Terre de liens - Provence Alpes Côte d'Azur,

Alliance Provence - Réseau des AMAP du 06 et Terre de liens PACA vous invitent à la projection du documentaire en avant première dans les Alpes Maritimes:

CULTIVONS LA TERRE
pour une agriculture durable, innovante et sans OGM

film de Honorine Perino,
à la MJC Picaud, à Cannes,
le mardi 20 avril à 20h30.


Des paysans ont commencé à réfléchir par eux-mêmes et inventer des propositions alternatives, très concrètes à l'agriculture contemporaine: la lutte biologique, la sélection participative, le respect de la vie des sols, l’autonomie alimentaire des élevages, les circuits courts de commercialisation, etc. La voie vers l'autonomie, enfin.

Elle sera suivie d'un débat  : 

Comment soutenir une agriculture paysanne, alternative durable? La contribution du mouvement Terre de liens

avec:

- Odile Jacquemin et Pierre Fabre, administrateurs de Terre de liens PACA: http://terredeliens.org
- Un représentant d'Alliance Provence, Réseau Régional des AMAP (à confirmer):  http://allianceprovence.org/
- Stéphane Maillard, paysan éléveur en AMAP dans les Alpes Maritimes, menacé sur ses terres, et qui a bénéficié de tout un mouvement de soutien citoyen et d'un projet d'achat foncier collectif avec Terre de liens:  http://www.youtube.com/watch?v=mYesQCC4e7I

Nous présenterons l'association Terre de liens PACA et ses enjeux: une association qui œuvre en faveur de l'accès collectif et solidaire à la terre, en soutenant des projets socialement et écologiquement pérennes, encourageant des dynamiques collectives, regroupant des actionnaires solidaires qui permettent l'acquisition de fermes et l'installation de paysans.


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